L'étudiante soudanaise Shams Al-Hafiz Abdullah parcourt une distance de deux mille kilomètres du Tchad à Al-Damer pour passer les examens du certificat soudanais après que le Tchad ait empêché que les examens aient lieu sur son territoire.
Il semblerait que le Tchad ait refusé d'organiser les examens du certificat soudanais pour la promotion 2023, qui auraient été déplacés dans la ville d'Abéché. « Cette position fait partie de la guerre visant à détruire le Soudan », selon le vice-président du Conseil Souverain de Transition, Malik Haggar (Suna 14/12/24).
Le centre d'études pour le développement et la prévention de l'extrémisme appelle les deux régimes militaires de deux pays à ne pas prendre de décisions radicales qui pourraient affecter la jeunesse.
Il est primordial que la population de deux pays ne subisse pas les conséquences d'une politique irresponsable menée par les deux régimes militaires qui s’agrippent au pouvoir refusant de démocratiser leur pays.
Au Soudan, en 20 mois de conflit armé, plus de 15 000 morts et 20 millions de déplacés internes et externes ont été enregistrés. Mardi, une évaluation soutenue par l'ONU a déclaré que la famine s'est étendue dans le Soudan déchiré par la guerre, et qu'elle devrait encore s'étendre. Les bombardements en provenance de positions de la milice de FSR ont un impact significatif sur les camps de réfugiés et les communautés déplacées à proximité de la ville d'Elfasher. Malgré les appels en faveur d’un cessez-le-feu qui se multiplient, les deux belligérants continuent à fermer les yeux et boucher les oreilles. La milice de FSR refuse toujours de mettre fin au siège d'Elfasher et d'arrêter le bombardement sur des lieux publics et le camp de Zamzam, conformément à la demande de l'ONU.
Pour éviter la contagion de ce conflit dans des pays voisins comme le Tchad et la Centrafrique, la communauté internationale doit se mobiliser pour exercer des pressions sur les deux parties afin d’accepter de négociations directes et demander aux pays étrangers de cesser toute ingérence dans le conflit soudanais.
L'armée qui a lancé une vaste offensive le 26 septembre 2024 contre des positions de la milice des FSR n'a toujours pas obtenu les résultats escomptés sur le terrain. Bien qu’elle ait légèrement progressé dans certains quartiers à Khartoum Bahri et à Omdurmane avec le contrôle de la ville de Sinja à Sinar, mais les FSR contrôlent toujours l’aéroport international, le Palais présidentiel, la raffinerie de Jayli, le siège de l’état-major. Alors que l’armée prétend avoir encerclé la ville de Madani, capitale de la province d’Eljazeera (le grenier agricole du Soudan), les FSR encerclent depuis sept mois la ville de Alfasher, capitale du Darfour. Tout se joue dans les deux grandes capitales, où se déroulent depuis quelques semaines des violents combats.
Il semblerait que le Tchad ait refusé d'organiser les examens du certificat soudanais pour la promotion 2023, qui auraient été déplacés dans la ville d'Abéché. « Cette position fait partie de la guerre visant à détruire le Soudan », selon le vice-président du Conseil Souverain de Transition, Malik Haggar (Suna 14/12/24).
Le centre d'études pour le développement et la prévention de l'extrémisme appelle les deux régimes militaires de deux pays à ne pas prendre de décisions radicales qui pourraient affecter la jeunesse.
Il est primordial que la population de deux pays ne subisse pas les conséquences d'une politique irresponsable menée par les deux régimes militaires qui s’agrippent au pouvoir refusant de démocratiser leur pays.
Au Soudan, en 20 mois de conflit armé, plus de 15 000 morts et 20 millions de déplacés internes et externes ont été enregistrés. Mardi, une évaluation soutenue par l'ONU a déclaré que la famine s'est étendue dans le Soudan déchiré par la guerre, et qu'elle devrait encore s'étendre. Les bombardements en provenance de positions de la milice de FSR ont un impact significatif sur les camps de réfugiés et les communautés déplacées à proximité de la ville d'Elfasher. Malgré les appels en faveur d’un cessez-le-feu qui se multiplient, les deux belligérants continuent à fermer les yeux et boucher les oreilles. La milice de FSR refuse toujours de mettre fin au siège d'Elfasher et d'arrêter le bombardement sur des lieux publics et le camp de Zamzam, conformément à la demande de l'ONU.
Pour éviter la contagion de ce conflit dans des pays voisins comme le Tchad et la Centrafrique, la communauté internationale doit se mobiliser pour exercer des pressions sur les deux parties afin d’accepter de négociations directes et demander aux pays étrangers de cesser toute ingérence dans le conflit soudanais.
L'armée qui a lancé une vaste offensive le 26 septembre 2024 contre des positions de la milice des FSR n'a toujours pas obtenu les résultats escomptés sur le terrain. Bien qu’elle ait légèrement progressé dans certains quartiers à Khartoum Bahri et à Omdurmane avec le contrôle de la ville de Sinja à Sinar, mais les FSR contrôlent toujours l’aéroport international, le Palais présidentiel, la raffinerie de Jayli, le siège de l’état-major. Alors que l’armée prétend avoir encerclé la ville de Madani, capitale de la province d’Eljazeera (le grenier agricole du Soudan), les FSR encerclent depuis sept mois la ville de Alfasher, capitale du Darfour. Tout se joue dans les deux grandes capitales, où se déroulent depuis quelques semaines des violents combats.