Mesdames et messieurs les journalistes,
Par ma voix le Centre d’Etudes pour le Développement et la Prévention de l’Extrémisme (CEDPE) vous souhaite la bienvenue dans ses locaux. Votre présence ce matin à l’occasion de ce point de presse, témoigne de la considération que vos organes respectifs, portent à l’égard du centre. Pour cela, nous en sommes honorés. En tant que centre d’études, nous aurons toujours besoin de vous pour relayer à grande échelle nos découvertes et autres données, et vous en tant que médias, aurez besoin de nous, pour des analyses pointues sur un certain nombre de sujets. C’est pourquoi, il sied de maintenir une relation de confiance et de la consolider autant que possible.
Par ma voix le Centre d’Etudes pour le Développement et la Prévention de l’Extrémisme (CEDPE) vous souhaite la bienvenue dans ses locaux. Votre présence ce matin à l’occasion de ce point de presse, témoigne de la considération que vos organes respectifs, portent à l’égard du centre. Pour cela, nous en sommes honorés. En tant que centre d’études, nous aurons toujours besoin de vous pour relayer à grande échelle nos découvertes et autres données, et vous en tant que médias, aurez besoin de nous, pour des analyses pointues sur un certain nombre de sujets. C’est pourquoi, il sied de maintenir une relation de confiance et de la consolider autant que possible.
Mesdames et messieurs les journalistes,
En date du 04 avril 2023, le CEDPE a effectué un sondage d’opinion dans les 10 arrondissements de la ville de N’Djaména, sur un échantillon de 1000 personnes. Cette enquête qui intervient six (06) mois après la tenue du Dialogue National Inclusif et Souverain, a permis de faire une rétrospection dans un premier temps sur le déroulement même de cette grand-messe nationale qui a réuni en théorie une importante partie des forces vives de la nation, et dans un second temps de recueillir les observations de la population concernant la situation sociopolitique du pays, un semestre plus tard après le Dialogue National. Les données collectées ont été traitées de manière scientifique, et très rigoureuse de manière à retranscrire fidèlement les opinions émises. Cette enquête n’a pas été diligentée, en vue de porter préjudice à une quelconque entité, d’autant plus qu’elle a été faite dans la plus grande des objectivités.
En date du 04 avril 2023, le CEDPE a effectué un sondage d’opinion dans les 10 arrondissements de la ville de N’Djaména, sur un échantillon de 1000 personnes. Cette enquête qui intervient six (06) mois après la tenue du Dialogue National Inclusif et Souverain, a permis de faire une rétrospection dans un premier temps sur le déroulement même de cette grand-messe nationale qui a réuni en théorie une importante partie des forces vives de la nation, et dans un second temps de recueillir les observations de la population concernant la situation sociopolitique du pays, un semestre plus tard après le Dialogue National. Les données collectées ont été traitées de manière scientifique, et très rigoureuse de manière à retranscrire fidèlement les opinions émises. Cette enquête n’a pas été diligentée, en vue de porter préjudice à une quelconque entité, d’autant plus qu’elle a été faite dans la plus grande des objectivités.
De façon succincte, voici quelques résultats clés obtenus :
32,1% de la population estiment que les résolutions et recommandations issues du DNIS répondent aux attentes et préoccupations de l’heure. Par contre, 61% des répondants estiment que les conclusions du DNIS sont impopulaires. 6,9% ne se sont pas prononcés.
29,6% estiment que les échéances électorales à venir seront crédibles et transparentes, contre 60,1% qui ne croient pas en cela. 10,3% n’ont pas répondu.
37,1% affirment qu’ils préfèrent la forme de l’Etat unitaire fortement décentralisé, contre 55,9% qui penchent pour la forme fédérale de l’Etat. 7% des répondants n’ont pas répondu à la question.
58,1% estiment que les tensions internes ne se sont pas améliorées après le DNIS, bien que 31,5% estiment qu’il y a une baisse notoire des conflits de tout genre après le dialogue. 10,4% ne se sont pas prononcés sur la question.
Après le DNIS, 20,4% estiment que la cherté de vie s’est atténuée. Par contre, 52,7% soutiennent que le problème de la cherté de vie est resté entier même après le DNIS. 26,5% avancent qu’elle s’est accentuée après le DNIS. 0,4% des participants ne se sont pas prononcés.
Mesdames et messieurs les journalistes,
Vous remarquerez dans les différentes rubriques des résultats, qu’un minimum de 0,4 participants ne répond pas aux questions posées. Cela peut relever d’un scepticisme accru ou d’un stoïcisme affiché, de certaines franges de la population qui ont perdu espoir et ne croient plus en cette République. Cette situation doit porter matière à réflexion, aux hommes et femmes qui dirigent le pays.
32,1% de la population estiment que les résolutions et recommandations issues du DNIS répondent aux attentes et préoccupations de l’heure. Par contre, 61% des répondants estiment que les conclusions du DNIS sont impopulaires. 6,9% ne se sont pas prononcés.
29,6% estiment que les échéances électorales à venir seront crédibles et transparentes, contre 60,1% qui ne croient pas en cela. 10,3% n’ont pas répondu.
37,1% affirment qu’ils préfèrent la forme de l’Etat unitaire fortement décentralisé, contre 55,9% qui penchent pour la forme fédérale de l’Etat. 7% des répondants n’ont pas répondu à la question.
58,1% estiment que les tensions internes ne se sont pas améliorées après le DNIS, bien que 31,5% estiment qu’il y a une baisse notoire des conflits de tout genre après le dialogue. 10,4% ne se sont pas prononcés sur la question.
Après le DNIS, 20,4% estiment que la cherté de vie s’est atténuée. Par contre, 52,7% soutiennent que le problème de la cherté de vie est resté entier même après le DNIS. 26,5% avancent qu’elle s’est accentuée après le DNIS. 0,4% des participants ne se sont pas prononcés.
Mesdames et messieurs les journalistes,
Vous remarquerez dans les différentes rubriques des résultats, qu’un minimum de 0,4 participants ne répond pas aux questions posées. Cela peut relever d’un scepticisme accru ou d’un stoïcisme affiché, de certaines franges de la population qui ont perdu espoir et ne croient plus en cette République. Cette situation doit porter matière à réflexion, aux hommes et femmes qui dirigent le pays.
Pour prendre amplement connaissance du rapport d’enquête du 04 avril dernier, veuillez visiter notre site web à l’adresse www.centrerecherche.com.