Communiqué de presse
Par une décision numéro 015 du 18 mars 2024, 31journaux (17 journaux imprimés en français, 7 en langue arabe et 7 journaux en ligne) sont tombés sous la coupe de la Haute Autorité des Medias et de l’Audiovisuel (HAMA). L’instance régulatrice des médias reproche notamment à ces organes : l’arrêt de parution et non respect de dépôt légal, conformément à la loi numéro 031 de 2018 portant régime de la presse au Tchad. Des peines de suspensions immédiates ont été infligées à ces journaux.
Il est clair que la presse libre constitue un baromètre de la démocratie, et la suspension d’un journal met à rude épreuve la liberté d’expression.
Le Centre d’Etudes pour le Développement et la Prévention de l’Extrémisme (CEDPE) est très préoccupé par la suspension de ces journaux et exhorte la HAMA à revoir sa décision par rapport à ces sanctions dans ce contexte préélectoral, où les citoyens ont un réel besoin d’informations.
Le CEDPE estime que cette décision réduirait drastiquement et arbitrairement le paysage médiatique dans notre pays.
Fait à N’Djamena, le 19 mars 2024
Mahamat Ali Mahamat,
Service de la communication du CEDPE
Par une décision numéro 015 du 18 mars 2024, 31journaux (17 journaux imprimés en français, 7 en langue arabe et 7 journaux en ligne) sont tombés sous la coupe de la Haute Autorité des Medias et de l’Audiovisuel (HAMA). L’instance régulatrice des médias reproche notamment à ces organes : l’arrêt de parution et non respect de dépôt légal, conformément à la loi numéro 031 de 2018 portant régime de la presse au Tchad. Des peines de suspensions immédiates ont été infligées à ces journaux.
Il est clair que la presse libre constitue un baromètre de la démocratie, et la suspension d’un journal met à rude épreuve la liberté d’expression.
Le Centre d’Etudes pour le Développement et la Prévention de l’Extrémisme (CEDPE) est très préoccupé par la suspension de ces journaux et exhorte la HAMA à revoir sa décision par rapport à ces sanctions dans ce contexte préélectoral, où les citoyens ont un réel besoin d’informations.
Le CEDPE estime que cette décision réduirait drastiquement et arbitrairement le paysage médiatique dans notre pays.
Fait à N’Djamena, le 19 mars 2024
Mahamat Ali Mahamat,
Service de la communication du CEDPE