Le centre d’étude de développement pour la prévention de l’extrémisme (CEDPE) a reçu la visite ce matin Mardi 02 mars 2021 d’une délégation de l’UNOCA composée de cinq personnes. Les échanges lors de cette visite sont portés sur la question de la prévention de l’extrémisme violent et des conflits intercommunautaires.
Le président du centre Dr. Ahmat Yacoub Dabio a fait une brève présentation du centre à la délégation tout en évoquant les réalisations et activités faites par le centre. Cette présentation a permis aux visiteurs de mieux comprendre la structure et le fonctionnement du CEDPE, une structure créée inaugurée le 30 janvier 2018 après l’obtention d’une autorisation de fonctionnement des autorités tchadiennes.
Le président du centre a évoqué son souci majeur qui est de penser à la réinsertion socioprofessionnel des désengagés de Boko Haram. Un projet est déjà élaboré en ce sens par le CEDPE et dont le coût par nuité d’un désengagé(e) s’élève à environ 14 000 Fcfa comprenant tout comme l’hébergement, la restauration, l’équipement, les salaires des encadreurs, la sécurité…. Il a attiré l’attention de l’UNOCA sur ce qui pourrait constituer une bombe à retardement si on continue à minimiser cet aspect.
Les échanges entre les deux parties étaient enrichissantes et l’UNOCA a félicité le Centre pour ses œuvres et activités réalisées en si peu de temps de sa création. La visite s’est terminée par la remise d’un rapport et d’une étude sur les 7000 désengagés de Boko Haram à la délégation de l’UNOCA.
La visite a commencé à 09h 45 et a pris fin à 10h 50.
Le président du centre Dr. Ahmat Yacoub Dabio a fait une brève présentation du centre à la délégation tout en évoquant les réalisations et activités faites par le centre. Cette présentation a permis aux visiteurs de mieux comprendre la structure et le fonctionnement du CEDPE, une structure créée inaugurée le 30 janvier 2018 après l’obtention d’une autorisation de fonctionnement des autorités tchadiennes.
Le président du centre a évoqué son souci majeur qui est de penser à la réinsertion socioprofessionnel des désengagés de Boko Haram. Un projet est déjà élaboré en ce sens par le CEDPE et dont le coût par nuité d’un désengagé(e) s’élève à environ 14 000 Fcfa comprenant tout comme l’hébergement, la restauration, l’équipement, les salaires des encadreurs, la sécurité…. Il a attiré l’attention de l’UNOCA sur ce qui pourrait constituer une bombe à retardement si on continue à minimiser cet aspect.
Les échanges entre les deux parties étaient enrichissantes et l’UNOCA a félicité le Centre pour ses œuvres et activités réalisées en si peu de temps de sa création. La visite s’est terminée par la remise d’un rapport et d’une étude sur les 7000 désengagés de Boko Haram à la délégation de l’UNOCA.
La visite a commencé à 09h 45 et a pris fin à 10h 50.
