Le général Yasser Al Atta n’a pas menacé dans le vide, mais il possédait des preuves de l’implication du régime tchadien dans le conflit.
L’armée soudanaise a eu des preuves accablantes de l’implication du Tchad dans leur soutien à la milice des FSR. La reprise du palais présidentiel a permis à l’armée de mettre la main sur des documents confidentiels et des armes en provenance des deux pays. Parmi la documentation, il y a eu des correspondances et des dossiers extrêmement sensibles que la milice n’a pas réussi à emporter ou à détruire parce qu’elle n’a pas trouvé assez de temps en raison de l’attaque par surprise de l’armée à partir de plusieurs axes. Parmi les documents saisis, il y a des cartes des conseillers militaires, des passeports avec les dates d’entrée. Des téléphones satellitaires dévoilant une niche d’informations, liés à une salle de contrôle à Oum Jaraz et Abu Dhabi. L’armée soudanaise a déclaré qu’elle a les dépouilles de plusieurs officiers tchadiens dont certains formés en France et ailleurs, tués lors de l’offensive contre le palais présidentiel. Plusieurs soldats tchadiens dont un officier de l’état-major sont prisonniers, à en croire l’armée soudanaise qui n’a brandit jusqu’à présent aucune preuve convaincante de ses allégations. Mais l’armée a montré dimanche 23 mars, à la presse, des caisses de munitions avec des Logo de l’armée tchadienne et une vidéo à l’appui. Grâce aux appareils de communication modernes et par l’intermédiaire d’une console AMGOS, les deux pays coordonnent les opérations militaires. Toujours selon l’armée soudanaise, des mercenaires du Sud Soudan dont certains très proches du président Salfakir ont été faits prisonniers. Leurs téléphones saisis ont révélé des informations très intéressantes. Toutefois, l’enquête est en cours et les prochains jours révèleront plus de surprises de l’intrigue.
# sources
L’armée soudanaise a eu des preuves accablantes de l’implication du Tchad dans leur soutien à la milice des FSR. La reprise du palais présidentiel a permis à l’armée de mettre la main sur des documents confidentiels et des armes en provenance des deux pays. Parmi la documentation, il y a eu des correspondances et des dossiers extrêmement sensibles que la milice n’a pas réussi à emporter ou à détruire parce qu’elle n’a pas trouvé assez de temps en raison de l’attaque par surprise de l’armée à partir de plusieurs axes. Parmi les documents saisis, il y a des cartes des conseillers militaires, des passeports avec les dates d’entrée. Des téléphones satellitaires dévoilant une niche d’informations, liés à une salle de contrôle à Oum Jaraz et Abu Dhabi. L’armée soudanaise a déclaré qu’elle a les dépouilles de plusieurs officiers tchadiens dont certains formés en France et ailleurs, tués lors de l’offensive contre le palais présidentiel. Plusieurs soldats tchadiens dont un officier de l’état-major sont prisonniers, à en croire l’armée soudanaise qui n’a brandit jusqu’à présent aucune preuve convaincante de ses allégations. Mais l’armée a montré dimanche 23 mars, à la presse, des caisses de munitions avec des Logo de l’armée tchadienne et une vidéo à l’appui. Grâce aux appareils de communication modernes et par l’intermédiaire d’une console AMGOS, les deux pays coordonnent les opérations militaires. Toujours selon l’armée soudanaise, des mercenaires du Sud Soudan dont certains très proches du président Salfakir ont été faits prisonniers. Leurs téléphones saisis ont révélé des informations très intéressantes. Toutefois, l’enquête est en cours et les prochains jours révèleront plus de surprises de l’intrigue.
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