Le 20 mars 2025 restera gravé dans les mémoires comme un jour de courage et de résilience pour le Niger. Ces dernières heures, l’armée nigérienne a mené deux opérations militaires d’envergure dans les régions de Diffa et Tillabéri, infligeant un coup dur aux groupes terroristes qui sévissent dans la région. Plus de 90 combattants présumés ont été neutralisés, marquant une avancée significative dans la lutte contre l’insécurité.
À Chetima Wangou, dans la région de Diffa, la nuit du 16 au 17 mars a été le théâtre d’un affrontement intense. Face à un groupe armé estimé à 300 combattants, les forces nigériennes ont fait preuve d’une bravoure exemplaire. Malgré l’utilisation de véhicules piégés et de motos par les assaillants, la riposte a été implacable : une cinquantaine de terroristes ont été neutralisés, des armes récupérées et plusieurs engins détruits. Le sacrifice de quatre soldats nigériens, tombés en héros, rappelle le prix de la paix.
Dans la région de Tillabéri, à Kiral, une autre opération conjointe avec l’armée burkinabè a permis de démanteler un bastion de l’État islamique dans le Grand Sahara (EIGS). Le 15 mars, une intervention aéro-terrestre a abouti à la neutralisation de 45 combattants et à la saisie d’un important arsenal. Malgré la perte de neuf soldats et les blessures de sept autres, cette victoire témoigne de la détermination sans faille des forces armées à protéger les populations et à sécuriser les ressources, comme ce site aurifère stratégique.
Ces régions frontalières, souvent éprouvées par les attaques de groupes affiliés à l’EIGS et à Boko Haram, respirent aujourd’hui un peu mieux. Ces succès militaires, bien que coûteux en vies humaines, sont un rappel poignant que la lutte contre le terrorisme est un combat collectif, mené avec courage et solidarité.
Le Niger, aux côtés de ses alliés, continue d’écrire une histoire de résistance et d’espoir. Chaque victoire, chaque vie sauvée, chaque arme saisie, est un pas de plus vers un avenir où la paix triomphera de l’obscurité.
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À Chetima Wangou, dans la région de Diffa, la nuit du 16 au 17 mars a été le théâtre d’un affrontement intense. Face à un groupe armé estimé à 300 combattants, les forces nigériennes ont fait preuve d’une bravoure exemplaire. Malgré l’utilisation de véhicules piégés et de motos par les assaillants, la riposte a été implacable : une cinquantaine de terroristes ont été neutralisés, des armes récupérées et plusieurs engins détruits. Le sacrifice de quatre soldats nigériens, tombés en héros, rappelle le prix de la paix.
Dans la région de Tillabéri, à Kiral, une autre opération conjointe avec l’armée burkinabè a permis de démanteler un bastion de l’État islamique dans le Grand Sahara (EIGS). Le 15 mars, une intervention aéro-terrestre a abouti à la neutralisation de 45 combattants et à la saisie d’un important arsenal. Malgré la perte de neuf soldats et les blessures de sept autres, cette victoire témoigne de la détermination sans faille des forces armées à protéger les populations et à sécuriser les ressources, comme ce site aurifère stratégique.
Ces régions frontalières, souvent éprouvées par les attaques de groupes affiliés à l’EIGS et à Boko Haram, respirent aujourd’hui un peu mieux. Ces succès militaires, bien que coûteux en vies humaines, sont un rappel poignant que la lutte contre le terrorisme est un combat collectif, mené avec courage et solidarité.
Le Niger, aux côtés de ses alliés, continue d’écrire une histoire de résistance et d’espoir. Chaque victoire, chaque vie sauvée, chaque arme saisie, est un pas de plus vers un avenir où la paix triomphera de l’obscurité.
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