Le Droit de veto tant exigé par l'Afrique n'est pas pour demain mais les droitiers au veto acceptent d'accorder à l'Afrique deux sièges permanents au Conseil de sécurité. Il est important de noter que l'Afrique a consacré quinze ans à négocier des sièges au Conseil de Sécurité de l'ONU, et que sa demande a évolué lorsqu'elle a revendiqué le droit de veto. Cependant, bien que les États-Unis et leurs alliés aient accepté d'attribuer deux sièges à l'Afrique, ils refusent catégoriquement de lui octroyer le droit de veto en raison de ses divisions internes.
Les grandes puissances expriment des craintes concernant l'emploi du droit de veto par un continent dont beaucoup de pays sont marqués par l'instabilité, ont des difficultés à maintenir des valeurs démocratiques et sont confrontés à des dissensions et à des conflits à leurs frontières. Ces pays peuvent exercer le droit de veto ou être exploités par une puissance internationale qui se sert de ce droit de veto à son avantage.
Les grandes puissances expriment des craintes concernant l'emploi du droit de veto par un continent dont beaucoup de pays sont marqués par l'instabilité, ont des difficultés à maintenir des valeurs démocratiques et sont confrontés à des dissensions et à des conflits à leurs frontières. Ces pays peuvent exercer le droit de veto ou être exploités par une puissance internationale qui se sert de ce droit de veto à son avantage.