La situation au Soudan est effectivement très préoccupante y compris pour le Tchad. L'origine du conflit au Soudan remonte à 2019, lorsque des généraux ont pris le pouvoir en destituant le président Omar El-Béchir. Deux généraux rivaux se sont retrouvés à la tête du pays : le général Abdel Fattah Al-Burhan, dirigeant des Forces armées régulières, et le général Mohamed Hamdane Daglo dit Hemmetti, dirigeant des Forces de Soutien Rapide (FSR). Le refus de remettre le pouvoir aux civils et le désir de se maintenir au pouvoir à tout prix ont plongé le pays dans une lutte armée.
Depuis le début du conflit armé en avril 2023, les affrontements entre l’armée soudanaise et les Forces de soutien rapide (FSR) ont causé des pertes humaines et des déplacements massifs.
(...)
L'armée soudanaise a annoncé avec éclat une grande offensive le jeudi 26 septembre 2024 contre les positions des Forces de Soutien Rapide (FSR) à Khartoum, mais n'a pas encore réussi à reprendre le contrôle de la raffinerie de Jeyli, l'aéroport international de Khartoum, ni le Palais Présidentiel. Certes, lors de cette dernière offensive, l'armée a grignoté du terrain à Kadaro, à Khartoum Bahri et quelques mètres du pont Alhalfaye. Une année et demi après le début des conflits armés, la milice FSR, qui contrôle plus de 50 % du territoire soudanais, fait désormais face à une coalition militaire qui semble désormais entraver son avancée, surtout avec les derniers affrontements signalés vers Mado, wadi sandi, Awa, Jebel Moya, Malha, Bir Maza, Aldaba et à 30 km de Milite, à Koulbous, Jebel Om, Jebel Moun, et Sali-a, à 38 km de la ville soudanaise d’Eljeneina sous contrôle des FSR depuis le début du conflit.
Depuis le début du conflit armé en avril 2023, les affrontements entre l’armée soudanaise et les Forces de soutien rapide (FSR) ont causé des pertes humaines et des déplacements massifs.
(...)
L'armée soudanaise a annoncé avec éclat une grande offensive le jeudi 26 septembre 2024 contre les positions des Forces de Soutien Rapide (FSR) à Khartoum, mais n'a pas encore réussi à reprendre le contrôle de la raffinerie de Jeyli, l'aéroport international de Khartoum, ni le Palais Présidentiel. Certes, lors de cette dernière offensive, l'armée a grignoté du terrain à Kadaro, à Khartoum Bahri et quelques mètres du pont Alhalfaye. Une année et demi après le début des conflits armés, la milice FSR, qui contrôle plus de 50 % du territoire soudanais, fait désormais face à une coalition militaire qui semble désormais entraver son avancée, surtout avec les derniers affrontements signalés vers Mado, wadi sandi, Awa, Jebel Moya, Malha, Bir Maza, Aldaba et à 30 km de Milite, à Koulbous, Jebel Om, Jebel Moun, et Sali-a, à 38 km de la ville soudanaise d’Eljeneina sous contrôle des FSR depuis le début du conflit.
(...) cliquez sur le lien ci-dessous pour télécharger en PDF le texte intégral.