L'entrée d'une autre partie dans l'équation de partage des intérêts pétroliers, à savoir les Forces de soutien rapide, et que cela se fait à travers un accord dont les détails sont inconnus avec ce nouveau partenaire imposant, et avec des intérêts qui n’ont pas été révélés. Le plus important est l’entente de toutes les parties et prenant en compte leurs intérêts, et que les Forces de soutien rapide sont devenues une partie imposée en raison des conditions de guerre en tant que réalité existante, et que tout accord doit être obtenu par consensus avec les forces de soutien rapide, même si les dispositions qui ont été prises ne sont pas connues.
Selon un expert pétrolier, la réalisation d'un tel consensus offre les garanties nécessaires pour reprendre le pompage du pétrole. Il s’agit de faciliter et de sécuriser la circulation des travailleurs dans un environnement et un climat qui leur garantit la sécurité pour qu'ils puissent rejoindre leurs chantiers. « L'exploitation nécessite également d'autres fournitures, dont la plus importante est le diesel nécessaire au fonctionnement des réchauffeurs afin d'éviter que le pétrole brut ne gèle à nouveau à l'intérieur des canalisations, en plus des pièces de rechange et d'autres outils nécessaires pour assurer le bon fonctionnement. L'ancien sous-secrétaire du ministère du Pétrole a indiqué que les communications constituent l'une des exigences fondamentales, car elles ont été l'un des facteurs qui ont contribué à la perturbation du pipeline. Il a ajouté : « Il est donc nécessaire de garantir que le réseau de communication ne sera pas coupé et que les deux parties au conflit s'engagent à ne pas cibler les tours de communication, ainsi qu'à ne pas faire en sorte que les stations de pompage, les travailleurs, et les équipements envoyés à ces stations soient des cibles militaires.
Selon un expert pétrolier, la réalisation d'un tel consensus offre les garanties nécessaires pour reprendre le pompage du pétrole. Il s’agit de faciliter et de sécuriser la circulation des travailleurs dans un environnement et un climat qui leur garantit la sécurité pour qu'ils puissent rejoindre leurs chantiers. « L'exploitation nécessite également d'autres fournitures, dont la plus importante est le diesel nécessaire au fonctionnement des réchauffeurs afin d'éviter que le pétrole brut ne gèle à nouveau à l'intérieur des canalisations, en plus des pièces de rechange et d'autres outils nécessaires pour assurer le bon fonctionnement. L'ancien sous-secrétaire du ministère du Pétrole a indiqué que les communications constituent l'une des exigences fondamentales, car elles ont été l'un des facteurs qui ont contribué à la perturbation du pipeline. Il a ajouté : « Il est donc nécessaire de garantir que le réseau de communication ne sera pas coupé et que les deux parties au conflit s'engagent à ne pas cibler les tours de communication, ainsi qu'à ne pas faire en sorte que les stations de pompage, les travailleurs, et les équipements envoyés à ces stations soient des cibles militaires.
