J’ai suivi avec une attention particulière la déclaration de deux parties la coalition civile Taqadum, dirigée par l’ancien premier ministre Hamdok et le mouvement FSR, dirigé par le général Hemetti dont des rumeurs persistantes ont été véhiculées sur sa mort. À la clôture des travaux, M. Hamdok a exhorté l'armée, dirigée par le général Albourhane, à accepter l'invitation.
Il convient de rappeler que les deux belligérants ont déjà dans un passé récent répondu à plusieurs pourparlers organisés dans différents pays comme en Arabie saoudite, au Tchad, au Soudan du Sud, en Ethiopie, au Kenya et puis à Djibouti. Même si c’est pour la première fois que le leader des FSR fait une apparition publique, je ne vois pas en quoi cette rencontre organisée par la société civile pourrait convaincre les deux parties qui ne connaissent que le langage de la force. Il est important de souligner que l'armée n'a jamais cessé d’accuser 'la force de liberté et de changement' pour son soutien aux forces de soutien rapide. Et peut-être que certains pays peuvent exercer des pressions sur l'armée pour qu'elle accepte de répondre à l'invitation de Taqadoum une nouvelle dénomination de la force de liberté et de changement. Je crois que le refus de l’armée pourrait être justifié la création officielle d’une coalition politico-militaire des FSR du général Hemetti avec l’ancien ministre Abdallah Hamdok qui pourrait jouer un rôle politique.
Prenant la parole, le général Hemetti qui a accusé l’armée de bombarder les civils, n’a pas exprimé le moindre regret concernant les violations des droits de l’homme dont sont responsables ses combattants, selon l’Onu.
Enfin, pour trouver une solution pouvant mettre fin à la guerre au Soudan, la communauté internationale doit s’impliquer en profondeur.
Il convient de rappeler que les deux belligérants ont déjà dans un passé récent répondu à plusieurs pourparlers organisés dans différents pays comme en Arabie saoudite, au Tchad, au Soudan du Sud, en Ethiopie, au Kenya et puis à Djibouti. Même si c’est pour la première fois que le leader des FSR fait une apparition publique, je ne vois pas en quoi cette rencontre organisée par la société civile pourrait convaincre les deux parties qui ne connaissent que le langage de la force. Il est important de souligner que l'armée n'a jamais cessé d’accuser 'la force de liberté et de changement' pour son soutien aux forces de soutien rapide. Et peut-être que certains pays peuvent exercer des pressions sur l'armée pour qu'elle accepte de répondre à l'invitation de Taqadoum une nouvelle dénomination de la force de liberté et de changement. Je crois que le refus de l’armée pourrait être justifié la création officielle d’une coalition politico-militaire des FSR du général Hemetti avec l’ancien ministre Abdallah Hamdok qui pourrait jouer un rôle politique.
Prenant la parole, le général Hemetti qui a accusé l’armée de bombarder les civils, n’a pas exprimé le moindre regret concernant les violations des droits de l’homme dont sont responsables ses combattants, selon l’Onu.
Enfin, pour trouver une solution pouvant mettre fin à la guerre au Soudan, la communauté internationale doit s’impliquer en profondeur.