Ces derniers temps, nous avons tous été témoins d'une tension entre le Tchad et le Soudan. Tandis que le Tchad soutient les FSR, le Soudan est accusé d'organiser et de mettre en place le Mouvement démocratique pour la sauvegarde du Tchad (MDST). Les deux pays doivent mettre fin à leur soutien aux rebellions armées.
La déclaration du général Yasser Al Ata, deuxième personnalité politico-militaire, a semé le trouble. Ses paroles étaient peu diplomatiques et nous avons cherché à comprendre les raisons. Il semble que la reprise du palais présidentiel par l’armée a permis de mettre la main sur des armes en provenance du Tchad et des documents confidentiels, notamment des correspondances et des dossiers extrêmement sensibles, des cartes des conseillers militaires, des passeports et des téléphones satellitaires qui révèlent une niche d'informations liées à une salle de contrôle à Am Jaraz. Il paraît que la milice n’a pas réussi à emporter ou à détruire ces preuves. D'après l'armée soudanaise, plusieurs officiers tchadiens, dont certains formés en France et ailleurs, ont été tués lors de l'offensive et plusieurs soldats tchadiens, dont un officier de l’état-major, sont faits prisonniers, à en croire l’armée soudanaise. L’armée a montré dimanche 23 mars, à la presse, des caisses de munitions portant des logos de l’armée tchadienne, avec une vidéo à l’appui, des appareils de communication modernes et des consoles AMGOS, qui coordonnent les opérations militaires. Les téléphones saisis ont révélé des informations très intéressantes. Toutefois, l’enquête selon l’armée soudanaise est en son début.
Vous savez, l’implication du régime tchadien n’est qu’un secret de polichinelle puisque des grands journaux comme Washington Post et New York Times l’ont déjà révélée. Certes, les conséquences sont terribles dans les relations des deux pays, dont chacun apporte son soutien à une rébellion armée contre l’autre. La seule alternative est de trouver une solution et de s'engager à mettre fin à tout soutien aux rébellions, tout en jouant la médiation pour trouver une solution. Il est important de rappeler que l'instabilité dans les deux pays est due au fait que les deux généraux cherchent à se maintenir au pouvoir par la force et refusent de le partager avec les civils. Nous espérons que les démarches saoudienne, turque et égyptienne seront un moyen efficace de convaincre les deux pays de mettre fin à la crise.
La déclaration du général Yasser Al Ata, deuxième personnalité politico-militaire, a semé le trouble. Ses paroles étaient peu diplomatiques et nous avons cherché à comprendre les raisons. Il semble que la reprise du palais présidentiel par l’armée a permis de mettre la main sur des armes en provenance du Tchad et des documents confidentiels, notamment des correspondances et des dossiers extrêmement sensibles, des cartes des conseillers militaires, des passeports et des téléphones satellitaires qui révèlent une niche d'informations liées à une salle de contrôle à Am Jaraz. Il paraît que la milice n’a pas réussi à emporter ou à détruire ces preuves. D'après l'armée soudanaise, plusieurs officiers tchadiens, dont certains formés en France et ailleurs, ont été tués lors de l'offensive et plusieurs soldats tchadiens, dont un officier de l’état-major, sont faits prisonniers, à en croire l’armée soudanaise. L’armée a montré dimanche 23 mars, à la presse, des caisses de munitions portant des logos de l’armée tchadienne, avec une vidéo à l’appui, des appareils de communication modernes et des consoles AMGOS, qui coordonnent les opérations militaires. Les téléphones saisis ont révélé des informations très intéressantes. Toutefois, l’enquête selon l’armée soudanaise est en son début.
Vous savez, l’implication du régime tchadien n’est qu’un secret de polichinelle puisque des grands journaux comme Washington Post et New York Times l’ont déjà révélée. Certes, les conséquences sont terribles dans les relations des deux pays, dont chacun apporte son soutien à une rébellion armée contre l’autre. La seule alternative est de trouver une solution et de s'engager à mettre fin à tout soutien aux rébellions, tout en jouant la médiation pour trouver une solution. Il est important de rappeler que l'instabilité dans les deux pays est due au fait que les deux généraux cherchent à se maintenir au pouvoir par la force et refusent de le partager avec les civils. Nous espérons que les démarches saoudienne, turque et égyptienne seront un moyen efficace de convaincre les deux pays de mettre fin à la crise.